Les trois amies à la pêche





Je
grimpais
sur un rocher
avec mes trois amies.
Tout à coup, mon téléphone
sonna. C'était un ami qui m'appelait
de très très loin. Cet ami était le roi de la
Mer Verte.Je décrochai et dit : “Allô !”Le roi
m'a dit : «  Est-ce que tu veux venir pêcher mes
sardines de la Mer Verte pour faire un barbecue ? Mon
oncle est pirate, il peut te prêter son bateau à grandes voiles. »
Je lui répondis : “Oui, j'arriverai demain ƒì matin avec mes trois amies
et ma petite chienne Chenille. Merci beau coup de nous avoir invitées. Nous
viendrons en avion.”Le lendemain matin, dans l'avion, nous avons lu l'histoire du
“Cochon de la reine de la Mer Verte” . Lorsqu'elle l'avait trouvé, ce cochon vivait dans
un nid au bord du Nil. Mais c'est une autre histoire...L'avion traversait un beau ciel bleu. Nous
avons vu des enfants faire la ronde à l'école en Inde, puis rincer leurs cahiers dans l'eau froide
de l'Ardèche et les faire sécher derrière les fenêtres de l'école. Enfin, après cinq heures de vol,
nous avons atterri sur l'aéroport du royaume de la Mer Verte.En descendant de l'avion, deux ânes
noirs,envoyés par le roi, nous attendaient pour nous emmener au bord de la mer.C'était vers le nord, à l'ouest
de la Chine. Arrivées près du quai, nous vîmes un bateau à grandes voiles, tout neuf et brillant au soleil.Sou-
dain, un perroquet, sorti du bateau, nous apporta une lettre écrite par le roi.Cette lettre disait :“Chères amies,
Je ne pourrai pas venir parce que mon fils, le prince, ne veut pas ranger sa chambre. Il est ronchon...VARIAN-
TES : de Rachida :Vous allez à la pêche avec le marin et vous pêcher les sardines. Puis, vous faites un barbecue.
J'espère que ça ne sera pas trop salé. J'espère aussi que ça sera drôle.Non, ne m'attendez pas, j'arriverai trop
tard. Dans la mer, vous trouverez peut-être de l'or.Au revoir.Je vous fais de gros bisous.Le roi”Mes amies ne
voulaient rien faire. On ne voulait plus aller à la pêche à la sardine. On ne voulait plus faire un barbecue. Je dis
au marin : “ Remerciez le roi de nous avoir invitées au bord de sa Mer Verte. Mais nous rentrons chez nous. Au revoir,
marin.”Et nous lui fîmes un gros bisou.D' Abdelmoïz :Il ne veut rien faire. Il ne veut que faire le drôle. Je lui dis non
! Je vous souhaite bonne chance. Ne m'attendez pas. Je vous envoie une canne à pêche en or par mon neveu.
Il partira avec vous. On vous rejoindra tout à l'heure, le prince et moi, lorsque sa chambre sera rangée.”Alors nous
partîmes sur l'eau pêcher les sardines. Toutes furent pêchées. Et tout se termina par un barbecue géant de sardines
grillées et salées.De Jessica et Seyda :... Vous pouvez pêcher mes sardines sans moi. Mais avant, il faut saler l'eau
de la mer pour les attraper. Vous verrez, c'est drôle, la pêche à la sardine ! À bientôt. Le roi”On prit la mer quand
même. Or, il n'y avait rien à pêcher ! Non, vraiment, il n'y avait plus rien à faire ici ! Alors nous rentrâmes à la
maison. Nous étions ronchons, nous aussi.De carminda :... En plus, mon fils, il m'a salé les sardines de la
Mer Verte ”Or, comme le roi avait puni son fils, (parce qu'il avait salé les sardines de la Mer Verte),
nous ne pouvions plus aller pêcher. On décida alors, mes trois amies et moi, d'aller au cinéma voir
un film drôle.Au cinéma, on nous dit : “Non, vous ne pouvez pas entrer avec votre chienne !
”Décidément, on ne pouvait rien faire !De Diana :... En plus, mon chien a mangé du sel, il
est malade. Et puis, j'ai regardé un drôle de “zoizo” en marchant, et je suis tombé.
Je ne peux rien faire. Tout va mal !”On partit donc seules à la pêche à la
sardine avec Chenille. À la pêche à la sardine, nous pêchâmes quarante
sardines aux écailles d'or. Non, vraiment, elles étaient si belles qu'on
ne pouvait pas les manger. Elles retournèrent à la mer
et il n'y eut pas de barbecue.De Sefer :... Mais
comme c'est drôle de pêcher avec vous les
sardines salées ; rien ne
m'empêchera de
vous
retrouver.
Non, rien !
On viendra demain
matin à 5 heures, mon
fils et moi. Attendez-nous
sur le bateau. Bonne nuit.Votre ami”
Le lendemain, à 5 heures, tout le monde
était prêt. Nous pêchâmes toute la journée. Nous avions trop
de sardines, presque une tonne. Mais aussi, dans nos filets de pêche, il y avait de vieux
bijoux en or. Un bateau avait coulé au fond de l'eau. Le soir, dans un petit village du bord de mer,nous fîmes un grand barbecue
pour griller les sardines. Tous les villageois étaient venus partager le repas avec nous. C'était merveilleux !De Selin :... Et je peux appeler les pirates pour qu'ils te prêtent leur bateau.Alors les pirates vinrent et nous partîmes ensembles à la pêche. Mais le bateau était trop petit pour y mettre beaucoup de sardines. On n'avait presque rien dans nos filets quand une de nous cria : “Oh ! Non ! Il n'y a plus de place.”Nous fîmes encore un tour, parce que c'était drôle puis nous sommes rentrées chez nous saler les sardines. La fenêtre de la maison était ouverte, tout avait été volé, même nos bagues en or. Alors nous décidâmes de déménager. Ainsi se termine notre histoire.De Léandro : ... Non, je ne peux vraiment pas venir. Si cet après-midi je n'ai rien à faire, je vous rejoins.À plus tard. P.S : Vous pouvez saler les sardines avant de les griller ! “Mais la pêche n'était pas drôle sans le roi. De plus, il n'y avait pas de sardines dans la mer. Finalement,
no-
us trou-
vâmes quel-
que chose ē d'autre
dans l'eau, une autre
espèce de poisson :
le thon. En
rentrant
chez
le roi, nous
partageâmes
ce gros pois- son.Ainsi
se ter- mina notre
fameuse pêche.